Ne pas stéréotyper l’intelligence artificielle

L’intelligence artificielle (IA) est un phénomène de plus en plus répandu.

Qu’elle prenne la forme d’assistants personnels pour smartphones comme Siri ou de machines plus pointues, capables de surpasser l’intellect de leurs alter egos humains dans des épreuves complexes, l’IA a définitivement abandonné l’univers de la science-fiction et des laboratoires informatiques pour s’inviter dans notre quotidien.

Pour preuve, ce secteur devrait générer 15,7 milliards de dollars d’ici à 2030, soit un accroissement du PIB mondial de 14 %.

Mais l’intelligence artificielle, qu’est-ce que c’est vraiment ?

Il s’agît d’une science qui a pour but de faire réaliser, par une machine, une action à la base humaine et prenant sa source dans l’intelligence. Le but est donc de reproduire du mieux possible l’intelligence humaine mais scientifiquement.

 

Constat alarmant, seuls 13,5 % des emplois dans l’intelligence artificielle sont aujourd’hui occupés par des femmes. 

Sous prétexte de neutralité mathématique, nous pouvons être tentés de croire que l’intelligence artificielle œuvrera naturellement pour un monde plus égalitaire… Mais l’IA n’est pas neutre, et nombre d’expériences l’ont démontré. Prenons l’exemple des assistants virtuels.

Au concours Miss et Mister Clients 2016, seuls 6 assistants virtuels masculins ont été désignés parmi les 39 assistants virtuels présentés…

 

C’est la raison pour laquelle Delphine Remy-Boutang, cofondatrice de la Journée de la femme Digitale, milite pour une intelligence artificielle plus féminine.

 

 La révolution IA sera féminine ou ne sera pas !

Découvrez l’article complet dans Les Echos ici.

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