« Les créatrices de start-up doivent s’autoriser de bonnes rémunérations »

Pour Challenges, Yasmina Brasseur, ingénieur patrimonial chez ODDO BHF Banque Privée et l’une des co-fondatrices de The Ladies Bank, détaille les précautions que doivent prendre les créatrices de start-up avant de se lancer dans l’aventure. 

Les femmes s’investissent beaucoup dans l’opérationnel et ont parfois tendance à oublier ces aspects techniques.

Quels conseils donnez-vous aux entrepreneuses ?  – Il est important qu’elles trouvent des clés pour optimiser leur patrimoine. […] Tout dépend du contexte et il est important d’être bien conseillée dès le départ.

Quel statut choisir ? – La plupart du temps, le statut de société par actions simplifiées (SAS) est le plus commode car il est assez souple. […]

Les femmes ont tendance à facturer leurs prestations à un niveau moins élevé que les hommes […]. Elles doivent en avoir conscience et éviter ce travers […].

Vous soutenez les femmes entrepreneuses au travers du prix Trajectoires-HEC au féminin, pourquoi ? – Nous sommes partenaires depuis la création de The Ladies Bank il y a deux ans, car nous voulons donner la parole aux femmes qui se mettent en risque. Nous sommes d’ailleurs contactées par beaucoup de réseaux féminins, tels que Femmes Business Angels (FBA) avec qui nous avons organisé une conférence sur un thème qui nous rassemble : comment investir dans les start-up. 

Vous pouvez lire l’intégralité de l’interview de Anne-Marie Rocco avec Yasmina Brasseur, ingénieur patrimonial chez ODDO BHF Banque Privée, sur le site de Challenges

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